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Profiter de la beauté des paysages de Tana à un prix assez raisonnable à bord d’un véhicule ancien

Les Citroën 2CV et les Renault 4L, ces voitures populaires françaises ont surtout été importées sur Madagascar dans les années 60 à 80. Aujourd’hui, elles sont de véritables institutions, un symbole du pays en quelque sorte. La plupart des chauffeurs de taxi de la capitale de la Grande île, Antananarivo, notamment, les utilisent comme véhicules, car ont l’avantage de ne pas trop consommer (il faut dire qu’elles ont toutes été bien allégées), d’être facile à entretenir, à réparer : avec du fil de fer, un marteau et des élastiques, un mécanicien malagasy fait des miracles ! Mais il y a également des passionnés qui les restaurent avec soin. Pour les voyageurs, ces véhicules anciens ont un tarif un peu plus bas que les autres voitures donc ça roule toujours. Il n’y a rien d’étonnant que cela constitue vraiment un parc à voitures anciennes et c’est avec eux qu’on peut profiter de la beauté des paysages de Tana à un prix assez raisonnable.

Au pays de la débrouille où tout se répare, les 4L et les 2CV ont encore de beaux jours devant elles !

Le musée de voitures anciennes d’Antananarivo est installé dans la rue : pour le visiter, de jour comme de nuit, il n’y a qu’à prendre un taxi… Ils sont nombreux, garés en vrac place de l’Indépendance. On les reconnaît facilement : de couleur beige crème, ils arborent sur le toit une pancarte jaune, souvent écrite à la main.
Ils sont officiellement 1.200 à écumer le centre-ville de Tana, le surnom affectueux donné à la capitale de Madagascar : des Simca, quelques Peugeot, pas mal de Renault et de Citroën, aucune Allemande et peu d’asiatiques. Le nombre fait sourire les autorités, qui rectifient : 1.200 au moins. Officiellement. Car il existe bien des taxis, dits clandestins… (Chut !!!)

Antananarivo, Madagascar.

L’attraction

Comme on ne trouve pas de pièces détachées, ou alors, bien trop cher pour pouvoir se les acheter, les garagistes les usinent eux-mêmes, ou les adaptent. Les moteurs sont impressionnants : sur certains, il n’y a plus une seule pièce d’origine.
On nous a parlé d’une Dauphine encore en activité, et même d’une Traction : la Traction, c’est vrai, mais elle ne sort que la nuit. On nous indique l’endroit où, le plus souvent, elle attend le client : chaque chauffeur a ses petites habitudes. La Dauphine, c’est vrai aussi, mais son proprio est à la retraite, il ne fait que quelques courses, de temps en temps, et personne ne sait où il habite exactement. Par contre, il y a une 203 qui passe ses après-midi devant le Plaza.
Les taxis de Tana sont dépourvus de compteur (et de tout un ras d’autres choses qu’il serait trop long de lister, freins, amortisseurs, clignotants, plancher, poignées de portes), il faut donc soigneusement négocier le prix de la course avant de démarrer : pour un trajet urbain, comptez de 5.000 à 10.000 ariary. Une fortune, quand on sait qu’un million d’ariary constituent un salaire mensuel de rêve auquel peu accèdent, et qu’une place de taxi B coûte (en ville) 400 ariary.
Les taxis de Tana, c’est de bonne guerre, ont tendance à augmenter les tarifs quand ils chargent un vazaha (un blanc), mais les expats, installés parfois à Mada depuis longtemps, et les zanatany (les blancs nés à Mada), ne se laissent pas faire : les taxis n’ont alors pas d’autres choix que de traquer le (rare) touriste, ou l’homme d’affaires, qui ne voyage pas avec son chauffeur personnel (très conseillé à Mada, et pas cher).

Source > http://one-minute-madagascar-news.com/profiter-de-la-beaute-des-paysages-de-tana-a-un-prix-assez-raisonnable-a-bord-dun-vehicule-ancien/

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